After work #15 au Château éphémère : reportage photo
Découvrez ci-dessous les photos de l’after work #15 au château éphémère, rendez-vous mensuel incontournable du lieu. Les afterworks sont des temps de convivialité gratuits qui permettent de découvrir le lieu, rencontrer les artistes résidents et suivre l’évolution de leur projets. Ils permettent aussi les interactions entre artistes et public. C’est aussi un temps dédié aux vernissages, aux visites guidées et aux flâneries, le tout accompagné de Dj-sets et/ou autres performances.
En ce mois de mai, nous avons découvert les projets de nos résidents KODH, JULIEN PAUTHIER et le projet collectif de ROMAIN DIMARCQ, AUDREY FOSSEPREZ ET PABLO ALBANDEA.
After work #15 au Château éphémère : présentation des artistes
Kodh « Souffle » (Mix Live Stream)
« Pour cette afterwork, Kodh nous donne accès aux avancées techniques liées à la partie sonore de « Souffle », l’installation hybride, qui vous transforme en spectACTeur. Préparez bien votre respiration, elle va se transformer en jolie piano qui a du « souffle ».
Julien Pauthier « Time is Everywhere » (Installation) & « Noise Before Language » (Concert)
« La musique comme nous la connaissons actuellement est écrite et composée. Nous pouvons ainsi dire que la musique est avant tout un langage et un langage à base de mathématique. Cette composition permet à l’auditeur de reconnaitre l’origine de cette musique. Est-ce du Rock’N’Roll, de la musique Chinoise traditionnelle, de la Country Américaine ? etc… Nous écoutons ces musiques au travers de cette prédominance, c’est à dire qu’une fois le langage compris nous commençons à écouter et à apprécier, ou non. La manière d’écrire et de composée une musique changera notre perception d’écoute. Nous avons donc besoin de décoder le code qui nous est proposé. J’aimerais simplement poser une question : « Qu’y a-t’il avant le langage ? ». »
Romain Dimarcq, Audrey Fosseprez et Pablo Albandea « Mycelium – exposition collective » (Installations audiovisuelles numériques et interactives)
« La première exposition du collectif Mycelium vise à interroger le numérique sur sa capacité à révéler les structures organiques qui nous entourent. A travers l’audiovisuel et les technologies interactives, les œuvres tissent des liens entre les choses de notre environnement quotidien.Les rapports entre l’homme et la nature chez Audrey Fosseprez, la mutation des corps sonores dans l’installation de Romain Dimarcq ou la création d’un espace social et d’échanges humains avec le dispositif de Pablo Albandea.
Sirius Productions (Installations et performance)
Françoise Alleysson et Jean Rabaté ont présenté des extraits de l’opéra numérique « Elles » (anciennement « Ciboulette à la capitale »), qui mêle chant lyrique et images vidéos contrôlées par la voix. Le chant de Françoise agissait sur des images projetés (modulation des images, déclenchement d’effets, transitions…). S’en est suivi un temps de présentation et d’échange avec le public.
Retrouvez ci-dessous quelques images images de l’after work #15 au château éphémère
